Conclusion
Ce site web constitue notre dossier réalisé à l'intention de l'OFAJ / DFJW, soit l'Organisation Franco-Allemande de la Jeunesse qui nous a permis d'accomplir ce voyage. Nous les remercions donc énormément. La présentation sous la forme d'un site n'est pas anodine, puisqu'il s'agit d'un exemple évident de la progression d'internet.
Après avoir préparé ce questionnaire, nous l'avons fait remplir. Voici les résultats obtenus. Il faut simplement rappeler qu'il ne s'agit pas de chiffres tout à fait réalistes puisqu'il n'a pas été posé à suffisament de personnes : il aurait fallu au minimum un millier d'allemands, ce qui n'est pas la cas ici.
Kaufen Sie eine Zeitung? □ Ja □ Nein
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Wie lange hören Sie Radio? □ Niemals □ Weniger als 1 Uhr □ Mehr als 1 Uhr.
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Wie lange sehen sie fern ? □ Niemals □ Nur für infos und meteo □ Weniger als 2 Uhr pro Tag. □ Mehr als 2 Uhr pro Tag. |
Was mögen
Sie am liebsten ? □ Fernsehen □ Radio □ Zeitung □ Internet |
Finden Sie,
dass es zu viel Werbung gibt ? □ ja □ Nein |
Nous tenions à
terminer cet exposé par une légère description de la publicité (Die Werbung ),
qui est un des plus importants moyens de revenus pour les médias, quelqu'ils
soient. Il s'agit là d'un métier : celui de trouver comment vendre un produit,
toucher la population. Le résultat est complétement différent, de par la
culture du pays. Par exemple, la publicité pour les cigarettes n'est pas
interdite en Allemagne, alors qu'elle l'est en France. Nous avons trouvé celle-ci
particulièrement ironique : "liberté toujours" est en français sur la
publicité allemande de cigarettes, alors que c'est interdit en
France. |
Notre
correspondante qui est déjà venue en France nous a fait remarquer qu'il n'y a
presque aucun menu végétarien en France alors qu'il y en a plusieurs dans les MacDonald's
allemands. Elle est elle-même végétarienne ainsi que plusieurs de ses amis, d'où
sa remarque.
Le contenu des publicités dépend donc de la culture où tout simplement des habitudes des habitants de la région.
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Ce site web a été réalisé par François M et Amandine D.